II nous parvient quelque chose d’important et qui semblait perdu ou hors de portee. Comme a la fin de Penfance quand on comprend soudain que le monde est ainsi fait que les choses les plus radieuses n’appartiennent qu’aux contes. Or, dans Pere Rafail et autres saints de tous les jours, beaute et feerie se deploient pour de vrai, dans la vie reelle. II suffit de tendre la main et d’aller a leur rencontre pour nous retrouver, nous aussi, dans ce monde.